La France connaissait une évolution immobilière https://www.capitole-immobilier.fr/ à des allures variables, dans tout le pays. Dans toute la France, une hausse annuelle moyenne de 1,73 % des cours de l’immobilier s’est vraiment accentuée. Toutefois, Paris a connu une hausse de 6,8 % au cours du premier semestre de 2018.
Facteurs contributifs
Le cours immobilier français a augmenté de 112,5 % au cours de 1997 à 2007. Malgré l’appauvrissement du marché immobilier, les baisses de prix ont été modérées. Elles pourraient être dues à la faiblesse des taux d’intérêt. Avec un renforcement économique de 2,3 % en 2017, la France avait atteint un niveau record en dix ans mais elle a reculé en 2018 suivant la tendance de la zone euro à 1,6 %. Malgré cela, elle reste une économie stable. Les malheurs de la France ne sont pas seulement liés à la zone euro. La vigueur de l’euro et l’augmentation des cours du pétrole en affectent les exportations. Le président Macron a dû mettre en œuvre d’autres réformes. Ces dernières le rendent déjà impopulaire, mais celles-ci ne suffisent pas à changer l’orientation de l’économie française. Au départ, on pensait que Brexit affecterait le marché immobilier français https://www.bouchard-immobilier.fr/. Mais il semble qu’il ait en fait stimulé la demande.
Profits locatifs
Les appartements à Paris sont rares. Les propriétaires n’ont aucune difficulté à trouver des locataires. Cependant, les bénéfices locatifs sont décevants. La durée de contrats de location français est souvent longue. Il existe des restrictions légales sur l’augmentation du loyer. Cela tient les prix de location stables. Par conséquent, les quartiers les plus populaires ont des rendements locatifs bruts. Ils sont inférieurs à 4,2 % pour les petits appartements et 3,9 % pour les grands. La légère baisse des prix offrira aux acheteurs l’occasion d’investir. Sa valeur est inférieure à la valeur marchande lorsque le marché atteindra le creux de la courbe. La vente des propriétés à rénover est souvent sacrifiée à un prix inférieur. Le niveau toujours inférieur des taux d’intérêt dans la zone euro offre des opportunités d’investissement favorables. Le sud de la France offre des rendements locatifs compris entre 7 et 10 %. 75 % de ces revenus proviennent de locations en haute saison estivale.
Taxes et frais
Les résidents étrangers ayant un faible revenu locatif sont imposés à 10 %. L’impôt sur les plus-values pour tous les citoyens européens est de 19 %, mais de 33,33 % pour les citoyens non européens. Les coûts de transaction pour l’achat d’une maison en France se situent entre 7,9 % et 28,99 %. Les nouvelles propriétés ayant le coût le plus élevé sont de 20 % avec des frais d’enregistrement moins élevés. Les prestations de l’agent immobilier sont partagées entre l’acquéreur et le vendeur. Ils varient de 3 % à 10 %. Les lois françaises sur la location soutiennent les locataires. Le loyer initial est déterminé de façon libre et révisé annuellement. Mais l’augmentation ne peut pas surpasser l’indice locatif de l’INSEE. La structure du contrat est restrictive. Cela fait que les appartements plus anciens ont du retard sur les revenus locatifs. Un contrat de location de propriété non meublée dure au moins trois ans. Les contrats meublés peuvent durer un an. N’oubliez pas non plus les frais de travaux qui peuvent être importants.